Marh ha Moh et non pas Marhad moh. On ignore l'origine exacte de cette expression..
(le D d'un éventuel Marhad n'était jamais prononcé, donc hypothèse à exclure)
Cette maison qui appartenait à la famille Robic n'est pas très ancienne.
Mathurine Le Net, couturière, habitait une pièce au premier étage. Célibataire, elle était la sœur de Jean-François qui exploitait la ferme en face.
En 1931, nous avons le couple Oliviero-Guégan, Le couple Le Colleter-Guégan, Marie-Jeanne Le Ruyet et Mathurine Le Net.
On voit ici, l'ensemble du quartier, au premier plan gauche la maison Quilleré, derrière, la maison de Joseph Oliviero et sur la droite, Mathurine Euzenot
Famille de Joseph Oliviero -
Au mariage de Mathurin Le Tadic, dit Matao Saint-Jean. La demoiselle d'honneur au tablier blanc est Jeanne Guégan épouse de Joseph Oliviero.
Derrière, un peu à droite, sa mère, Marianne Guégan.
En haut, la femme de gauche est la sœur de Jeanne, Marie-Josèphe Guégan, maman de Marie-Thérèse Le Colleter.
Marianne Guégan, originaire de Langoëlan, s'était mariée à Joseph Guégan..
Joseph Oliviero, fils, dit Jo en tête du cortège de la classe 8 en 1958
Jean-Claude Oliviero, à travers les âges
Marie-Thérèse Le Colleter
Mathurine Le Net