 | Angèle LE TADIC ° 26/11/1920 à Prinquiau ; 44 Parents : François LE TADIC et Marie-Perrine JULÉ Conjoint(s) : François Jean-Baptiste BAGOT |  |
 | Marie-Françoise LE TADIC ° 17/10/1911 à Le Sourn ; 56 Parents : François LE TADIC et Marie-Perrine JULÉ | |
 | BOUILLARD | |
 | Marcel François Marie LE TADIC ° 06/10/1917 à Le Sourn ; 56 Parents : François LE TADIC et Marie-Perrine JULÉ Conjoint(s) : Joséphine dite Josette LE BOTLAN | |
 | Mathurin JULÉ ° 02/11/1898 à Le Sourn ; 56 Parents : Louis JULÉ et Marie Louise HÉMON Conjoint(s) : Marie-Françoise PORROT | |
 | Marie-Mathurine Jeanne KERSUZAN ° 20/08/1876 à Le Sourn ; 56 Parents : Joachim KERSUZAN et Louise ANDRÉ | |
 | Noyale JEHANNO | |
 | Mathurin LE RALLIC ° 04/09/1862 à Guern ; 56 Parents : Joseph LE RALLIC et Marie LE BRIS Conjoint(s) : Mathurine ROLLAND Origine du surnom. Il avait pour habitude de faire un miton, ce sont des tranches de pain entières que l'on arrose avec de l'eau ou un bouillon et on laisse macérer une nuit ou 24h. Donc 'mitonner'. Ru, parce que lui, y rajoutait du vin rouge, du 'ru', pour le manger. Il habitait la maison que Maryvonne Dilhuit a habité ensuite, puis la pharmacie. Histoires: 1- Miton Ru fait son besoin dans le Hent Don. Quelqu'un arrive. Il remet rapidement son pantalon et couvre son besoin avec son chapeau. Il dit à l'arrivant - j'ai un animal vivant la-dessous. Tiens le chapeau en attendant que j'aille chercher un baton. L'aute a attendu un peu avant de soulever le chapeau 2- Quelqu'un arrive de Pontivy saoul alors qu'il aurait du revenir avec des lunettes. -Miton Ru, ' ce n'est rien, je vais arranger ça' et il va lui chercher une vieille paire de lunettes La semaine suivante le gars revient pour engueuler Miton Ru. Tu m'as volé, ces lunettes n'ont qu'un seul verre. Et alors, dit Miton Ru, pouisque tu es déjà à moitié borgne. 3- dans une colonie française, il a enlevé le voile d'une femme musulmane. Tous les hommes ont courus, il a eu juste le temps de monter à bord «Miton-ru» Le Rallic, ancien bedeau à Baud, peut-être crieur public et fossoyeur, mais surtout exploitant une carrière de sable à la Pierre-fendue qui porte son nom, entre la route de Linguénec et celle de «Corn-er-lann»...(Michel Guéguin) | |